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CORRESPONDANCE

de choses aimables à tes compagnes. L’idée de passer bientôt quelques jours avec elles me réjouit infiniment.

Ton Vieux.

1202. À THÉOPHILE GAUTIER.
Saint-Gratien, samedi [12 août 1871].
Mon vieux Théo,

Au lieu de venir ici mardi, tâche d’y être lundi, parce que je suis obligé d’en partir mardi soir.

Tu serais même bien beau d’apparaître dès demain dimanche. Nous allons donc nous voir enfin !

Je t’embrasse.


1203. À SA NIÈCE CAROLINE.
Saint-Gratien, dimanche 2 heures [13 août 1871].
Mon Loulou,

Tourgueneff ne me répondait pas parce qu’il est encore à Édimbourg. Il sera mardi prochain à Londres et je crois qu’il arrivera à Croisset samedi. En tout cas, je partirai de Paris pour le dit Croisset jeudi soir ou vendredi matin.

J’aurais trop peu de temps à rester chez toi, pour que j’aille jusqu’à Dieppe. Cela n’en vaut pas la peine, n’est-il pas vrai ? Tes bonnes amies peuvent ramener ta grand’mère.