Comme je sais que tu désirais beaucoup cette résidence, je m’en réjouis, ainsi que ma mère.
Si tu passes par Paris la semaine prochaine, tu es sûr de m’y trouver.
Angers étant moins loin que Grenoble, nous nous verrons, je l’espère, un peu plus souvent maintenant.
Adieu, cher vieux, je t’embrasse.
[6 septembre 1867].
En arrivant à Paris avant-hier, j’ai appris votre nomination par l’article de Scholl. Mon plaisir donc a été mêlé de désagrément.
Puis, hier soir, la Princesse m’a dit que vous étiez à Paris. Si vous aviez l’habitude d’ouvrir aux gens qui viennent frapper à votre porte, je me serais présenté chez vous, vers minuit, pour vous embrasser.
Comment nous voir ? car je repars ce soir.
Ce n’est pas vous que je voulais complimenter, mais Jules, à qui la chose a dû faire plus de plaisir qu’à vous.
Le 15 août prochain, ce sera votre tour.
Adieu, mon cher vieux, je vous embrasse tous les deux très tendrement.
Je vous ai écrit à Trouville, poste restante. Avez-vous reçu ma lettre ?