Adieu, mon bibi. J’espère que tu vas rester un peu plus longtemps à Croisset pour que j’aie le temps de t’embrasser à mon aise.
Excusez-moi de ne pas aller vous faire mes adieux. Recevez-les ici sur cette feuille de papier. N’allez-vous pas tous les ans au Tréport ou à Fécamp ? Si vous passez par Rouen, cet été, rappelez-vous que Croisset est à un quart d’heure de la dite ville, et que vous y serez reçu avec ivresse.
J’aurais bien voulu, cet hiver, vous voir plus souvent. Mais ! etc… espérons que l’hiver prochain sera plus bourré de hautes questions.
Adieu, tout à vous.
Je vous serre les mains très affectueusement, cher ami.
N’oublie pas de me rapporter : 1o un gros paquet de journaux que l’on a dû remettre à mon portier peu de jours avant votre arrivée ; 2o le