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CORRESPONDANCE
Ta grand’mère a reçu ce matin une lettre de Mme Le Poittevin, pour la prier de venir voir la foire à Étretat. C’est ce qu’elle fera cet été, quand tu seras à Dieppe.
Adieu, ma chère Carolo. Amusez-vous bien et aimez-vous fort : c’est de votre âge et il n’y a que cela de bon dans la vie.
Regrettez-vous déjà Venise ?
Encore un baiser (uno baccio) sur chacune de tes bonnes joues.
Ton vieil oncle qui te chérit.
788. À JULES DUPLAN (?)[1].
[Croisset] vendredi [avril ? 1864].
Mon Vieux,
Sois chez toi lundi de 4 h. 20 à 6 h. du soir. J’arriverai par le train de 4 h. 20 et m’arrêterai à ta porte.
J’ai reçu ce matin une invitation des Tuileries pour une soirée mercredi prochain. Il y a sur la carte « en uniforme » ! Demande à Madame C[ornu] ce que ça veut dire pour les simples pékins.
À toi, je t’embrasse.
- ↑ Autographe au Musée de Croisset.