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DE GUSTAVE FLAUBERT.

775. À JULES SANDEAU.
[Paris] Samedi [décembre 1863-début janvier 1864].

J’irai vous dire adieu demain matin. Je pars demain soir ou lundi matin. Ma petite maman me réclame.

Bouilhet a promis les corrections de sa Faustine pour la fin de la semaine prochaine.

Nous sommes l’un et l’autre exténués. Voilà quatre nuits que je ne ferme l’œil. Adieu. À demain. De onze heures à une heure ? Est-ce votre heure ? Ou bien de trois à six, ce qui m’arrangerait mieux.

À vous toujours.


776. À CHARLES LAMBERT.
[Début de 1864.]
Mon cher Ami,

Faites-moi le plaisir de me dire votre numéro, afin que je puisse vous envoyer une Carthaginoise.

Donnez-moi aussi l’adresse d’Urbain. Avez-vous pensé à recommander Une femme bien élevée, d’Amélie Bosquet, à Guéroult ? L’auteur attend impatiemment sa décision.

Mille poignées de main.