Saint-Victor a-t-il parlé de votre ami Maisiat ? je n’ai de Paris aucune nouvelle. Un article de Baudelaire sur la Bovary, fait depuis longtemps et qui devait paraître dans l’Artiste, n’apparaît pas ; il en est de même de celui de Saint-Victor à la Presse. Mais de cela, je m’en moque profondément. Ah ! Carthage ! si j’étais sûr de te tenir !
Il me paraît impossible que j’aie fini cet hiver, bien que la chose doive être écrite d’un style large et enlevé, qui sera peut-être plus facile qu’un roman psychologique, mais… mais… Oh ! bienheureux Scudéry !
Adieu, cher vieux, vous êtes l’homme le plus gentil de la terre ; aussi, quand vous viendrez à Rouen, je vous ferai voir, chez le père Clogenson, un portrait de votre ami Voltaire qui vous amusera.
Re-adieu, ou plutôt à bientôt. Je vous embrasse.
Vous recevrez, à peu près en même temps que ma lettre, votre volume de l’Encyclopédie catholique, dans lequel je n’ai rien trouvé. Je ne vous en remercie pas moins très fort. Cela est pris partout et trop élémentaire ; j’en sais, Dieu merci, plus long, ce qui n’est pas dire que j’en sache beaucoup.
Si vous découvriez autre chose comme gravures,