vous remercie encore une fois de vos bons services inutiles, car la sottise anonyme a été plus puissante que votre dévouement.
Mille poignées de main. Tout à vous.
Vous connaissez l’abbé Constant, il doit pouvoir vous fournir des notes sur ceci, qu’il me faut ce soir : Le plus de lubricités possible tirées des auteurs ecclésiastiques, particulièrement des modernes.
À vous !
On vient d’interdire mon mémoire et on a arrêté, dimanche, l’Indépendance belge, parce qu’il y avait un article à la louange de votre serviteur.
Tu as dû recevoir ce matin une dépêche télégraphique à toi adressée, de ma part, par un de mes amis, c’est de demain en huit que je serai jugé ; la justice hésite encore. D’autre part, on me propose d’écrire au Moniteur à raison de 10 sols la