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OBSERVATOIRE DE JUVISY.
Syrte rayonne deux canaux par sa pointe septentrionale : le canal sombre dirigé vers la Boréosyrtis et la Nilosyrtis, cette dernière aboutissant à Coloe Palus, pour être continuée par le premier segment du Nil (Protonilus). Les estompages de la Boréosyrtis sont évidents au sud de la calotte polaire et tout près du limbe occidental, tandis qu’un estompage isolé, situé vers 0°± de la longitude et de +35°+ de latitude, paraît répondre à Dirce Fons de M. Schiaparelli.
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| Fig. 284. — 24 février, 11h 0m. | Fig. 285. — 25 février, 9h 10m. |
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| Fig. 286. — 27 février, 7h 0m. | Fig. 287. — 14 mars, 6h 30m. |
| Vues télescopiques de Mars prises à l’Observatoire de Juvisy. | |
6h 30m. ω = 327°. — En plus des détails énumérés dans l’observation précédente, on aperçoit maintenant très bien Œnotria, séparant la Grande Syrte proprement dite de sa partie supérieure (Deltoton Sinus), puis un vague éclaircissement de la teinte « maritime » entre Hammonis Cornu et Hellas (« Solis Pons » de M. Lowell). L’Hellespont est, comme toujours, très foncé. Le seul détail perceptible dans les demi-teintes Deucalionis Regio et Noachis est le détroit au sud
