l’empoisonnement de l’atmosphère par le mélange de l’oxyde de carbone qui commençait à se produire.
Les oreilles tintaient d’une sorte de glas sonore intérieur, les cœurs précipitaient leurs battements
Une pluie de bolides s’abattit.
avec violence, et toujours cette odeur de soufre irrespirable ! En même temps, une pluie de feu s’abattit du haut des cieux, une pluie d’étoiles filantes et de bolides dont l’immense majorité n’arrivaient pas jusqu’au sol, mais dont un grand nombre toutefois éclataient comme des bombes et vinrent traverser les toits, et l’on s’aperçut que des incendies s’allumaient de toutes parts. Le ciel s’enflamma. Au feu du ciel répondaient maintenant les feux de la Terre, comme si une armée d’éclairs eût soudain embrasé le monde. Des coups de tonnerre étourdissants se succédaient sans inter-