Page:Firmin - De l’égalité des races humaines.djvu/497

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

noirs ? Qui ne sait que ce sont des enfants en comparaison des blancs et, qu’il en sera toujours ainsi ? Le cerveau du nègre est plus petit, plus fortement empreint du caractère de l’animalité, moins riche en circonvolutions que celui de l’Européen. » (L. Büchner, Kraft und Stoft).


D`après M. de Gobineau, Francklin définissait ainsi le Nègre : « C’est un animal qui mange le plus possible et travaille le moins possible. (De l’inégalité des races humaines).


« La vie du Nègre se passe dans des contrastes perpétuels et les sentiments les plus opposés trouvent place dans son cœur. La gaîté la plus folle et la plus insensée fait place au désespoir amer, l’espérance sans bornes à l’extrême terreur, la prodigalité inconsidérée à la sordiderie.

« Les dispositions intellectuelles vont de pair avec ce tempérament tout d’impression ; le Nègre excelle à imiter, mais il est dans un état complet d’infériorité, s’il doit faire appel à son initiative intellectuelle. » (F. Müller, Allgemeine Ethnographie).


« Le goût et l’odorat sont chez le Nègre, aussi puissants qu’informes. Il mange tout, et les odeurs les plus répugnantes, à notre avis, lui sont agréables. » (Pruner, der Neger, eine aphoristische Skizze).


« L’infériorité intellectuelle du Nègre se lit sur sa physionomie sans expression ni mobilité…

« Les peuples de race nègre qui existent à l’état de liberté à l’intérieur de l’Afrique, nous montrent par leur habitude et l’état de leur esprit qu’ils ne peuvent pas dépasser le niveau de la vie de tribu. D’un autre côté, on a tant de