Sophie étoit en proie à une extrême anxiété. Elle prenoit pour elle beaucoup de choses, que l’hôte avoit cru adresser à Jenny Cameron. En conséquence, elle chargea sa femme de chambre de le questionner adroitement, afin de découvrir comment il étoit parvenu à savoir son nom, et quelle personne lui avoit offert une récompense pour la trahir. Elle ordonna ensuite que les chevaux fussent prêts à quatre heures du matin ; et se remettant du mieux qu’elle put de son trouble, elle pria sa cousine qui avoit promis de l’accompagner le lendemain, de vouloir bien achever son histoire.
CHAPITRE VII.
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FIN DE L’HISTOIRE DE MISTRESS FITZ-PATRICK.
Pendant qu’Honora, avec la permission de sa maîtresse, étoit allée commander un bowl de punch, et inviter l’hôte et l’hôtesse à en prendre leur part, mistress Fitz-Patrick continua son récit en ces termes :