dence ; ces quatre tours représentent la tour de David.
— Bien ! bien, Madame ! je ne suis pas savante, et je m’explique avec les mots que je sais.
— Oui… oui…
— Nous n’escaladons pas cette montagne, Madame ? J’ suis bonne grimpeuse.
— Nous irons dimanche, et nous prendrons le funiculaire.
— Je ne connais pas ça…
— C’est un wagonnet qui passe sous un tunnel.
— Je pense alors que c’est un genre de métro. Je n’aime pas le métro, par rapport à la nuit qui est dedans. Ce qu’il me faut, c’est de la lumière, et c’est ce qui me plaît, dans cette Bonne Dame, c’est qu’elle brille ! Votre métro, je ne le prendrai pas… j’irai à pied, et pis ! ce sont des contes ! Comment qu’on irait sous terre pour monter là-haut ? C’est pas possible !…
— Vous verrez ! c’est très facile. Maintenant, nous allons retourner à la maison en tramway.
— C’est dommage ! On va repasser sur les ponts ?
— Naturellement.
— Je ne suis pas entichée de c’te Rhône et de c’te Saône ; ça vous a des airs remuants qui ne me disent rien du tout.