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La jeune fille, trompée par les paroles de Mme Fodeur croyait y voir une allusion à l’abandon de sa fortune. La veuve, elle, ne songeait qu’aux générosités habituelles.
Avec un sourire gai, elle répliqua :
— Je me figurais que vous vouliez me complimenter sur le parti que j’ai pris hier, chez mon notaire…
Christiane s’arrêta, anxieuse, déroutée. Mme Fodeur questionna non sans vivacité :
— Quel parti avez-vous pris ?
— J’ai donné toute ma fortune à nos œuvres.
La terre, s’ouvrant sous les pieds de la philanthrope, ne l’eût pas plus émue.
— Comment ! bégaya-t-elle, quand