Page:Fiel - Le Sacrifice et l'Amour, paru dans l'Écho de Paris du 3 février au 7 mars 1934.djvu/44

Cette page a été validée par deux contributeurs.

La femme, simple, bonne, aimant recevoir et entourer sa vieillesse de gaîté ; le mari, affable et plein de bon sens. Une atmosphère sereine régnait chez eux. Leurs idées larges les rendaient indulgents, et ils étaient très aimés. Ils connaissaient bien des secrets, mais leur discrétion était proverbiale.

M.  Lavique était gai. La taquinerie passait pour être son point faible, mais Victor Hugo ayant écrit qu’elle était la méchanceté des bons, on pouvait en déduire que M.  Lavique était très bon.

Mme  Lavique essayait de tempérer cette manie qui la choquait parfois.

Ils aimaient particulièrement