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l’ombre s’efface

Nous allâmes chez M. de Gritte, qui me félicita grandement sur mon nouveau bonheur. Il avait vu M.  et Mme de Sesse, transfigurés par leur joie, rajeunis par leur bonheur. Mme Saint-Bart, plus exubérante que jamais, voulait que je l’appelle « ma tante », parce qu’elle aimait son amie comme une sœur.

Nous apprîmes qu’Hervé partait pour l’Égypte. J’en fus soulagée et j’écoutai à peine ce qu’il y allait faire, des fouilles pour son père, je crois…

Voici donc terminé le récit que j’avais promis à mes lecteurs, et je n’ai plus rien d’autre à raconter.



FIN


No 1904. — E. M. A. C. — C. O. L. 31.1112
Dépôt légal No 353. — 2e trimestre 1955. — No 68