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Scène X
MOULINEAUX, puis MADAME AIGREVILLE et YVONNE.
Une pause pendant laquelle Moulineaux s’endort. Au bout d’un instant, on sonne. Bruit de coulisse.
Madame Aigreville, dans la coulisse.
Ma fille ! mon gendre ! je veux les voir.
Étienne, entrant comme une bombe.
Monsieur, c’est madame votre belle-mère !… (Il gagne l’appartement d’Yvonne, parlant à Yvonne dans la coulisse) Madame, c’est madame Aigreville !
Madame Aigreville, faisant irruption par le fond, un sac de nuit à la main, qu’elle pose au fond.
Ah ! mes enfants, mes enfants !
Au milieu.
Yvonne, sortant deuxième plan gauche.
Maman, maman !
Moulineaux, réveillé en sursaut, no 3.
Hein ! qu’est-ce que c’est… une trombe ? (Ahuri.) Ma belle-mère !
Madame Aigreville, no 2.
Moi-même.
Moulineaux.
Ah ! que c’est bête de vous réveiller comme ça !
Madame Aigreville, embrassant Yvonne.
Ma fille… Mon gendre… Eh bien ! vous ne m’embrassez pas ?
Moulineaux.
Comment donc… j’allais vous le demander ; mais vous comprenez, la surprise, l’ahurissement quand on