Brigot. — Comment, qui ?… Ta femme et ta belle-mère, parbleu ! Ce n’est pas le Grand Turc.
Barillon. — Je vous demande pardon ! C’est que, depuis ce matin, j’ai la tête à l’envers !
Brigot. — Le fait est que tu as une mine !… Tu devrais prendre des dépuratifs. Qu’est-ce que tu as encore fait ?
Barillon. — Je n’ai pas dormi la nuit. Nous avons soupé hier soir avec Adhémar, Zizi et Panpan.
Brigot, à part. — Qu’est-ce que c’est que ça, Zizi, Panpan ?
Barillon, quittant le bras de Brigot et s’asseyant sur la banquette qui est au milieu de la scène. — Voilà !… Et alors, de bouteilles en bouteilles, de vins en vins, le punch m’a monté à la tête !
Brigot. — Tu étais pochard !
Barillon. — Oui. Et, vous savez, quand on est pochard, on a des idées fixes. Après le souper, j’ai croisé un monsieur dans l’escalier, un monsieur qui ne me