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Luc, ressortant de la chambre de Maurice et sans descendre.
Madame la comtesse prie madame de l’attendre un instant.
Etiennette. — Bien ! (Luc gagne le hall dont il referme la porte sur le salon - Etiennette s’assied sur le petit fauteuil à gauche de la bergère tandis que Guérassin en fait autant sur le fauteuil à droite de la table. — Une fois assis.) Mais qu’est-ce que je disais donc ? Ah ! oui… Alors, n’est-ce pas ? En bas : le salon…
Guérassin.
Oui !
Etiennette.
La salle à manger,…
Guérassin.
Oui !…
Etiennette.
Et du billard je fais ma chambre à coucher.
Guérassin.
Oui. (Changeant de ton.) Oh ! bien, tu sais, comme je n’y suis pas admis !…
Etiennette, avec un sourire narquois.
Oh ! tu ne voudrais pas !
Guérassin.
Tiens ! pourquoi donc ?