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(Indiquant de la main le cabinet de travail.) J’en ai un ici, tiens, en ce moment.
Belgence.
Ah ? Alors, ça n’aurait pas… ?
Massenay.
Mais, voyons ! quand vous venez en fiancés !
Belgence.
Oh ! si j’avais su…
Massenay, sur un ton qu’il s’efforce de rendre indifférent.
Écoute, si ça peut t’obliger : veux-tu que je lui fasse demander de ta part… ?
Belgence.
Oh ! ce serait gentil !
Massenay.
Mais voyons ! c’est facile !
Il va sonner à la cheminée, puis, remonte au-dessus de la table pour aller rejoindre Belgence.
Belgence.
C’est tout à fait gentil ! (Le faisant descendre et sur un ton confidentiel.) Et puis, dis donc, écoute : quand elle sera là, si, sans avoir l’air de rien, tu pouvais un peu me faire valoir… citer mes qualités… j’en ai, tu sais !
Massenay.
Ah ? Lesquelles ?
Belgence.
Oh ! t’es rosse !… Tu comprends, c’est des choses que je ne peux pas faire moi-même ; tan-