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Coustouillu et le voyant dans cet état.) Ah ! non, mon ami, non ! vous n’allez pas vous trouver mal ? ce n’est pas le moment !
Coustouillu.
Non… non… Ah ! Francine… Francine ! est-ce possible !
Francine.
Mais oui ! mais oui !
Coustouillu.
Ah !
Il la couvre de baisers goulus.
Francine.
C’est ça ! Allez ! Allez !
Coustouillu.
Oui.
Nouveaux baisers.
Francine.
Allez, allez, c’est ça !
À ce moment paraît Chanal venant du cabinet de travail. Il reste cloué sur le seuil de la porte devant la scène qu’il a sous les yeux. Bouche bée, impuissant à pousser un cri, il lève de grands bras en l’air, pivote sur lui-même et rentre précipitamment dans le cabinet de Massenay, — tout ceci sans que le couple tout à son affaire se soit aperçu de sa présence. Chanal n’est pas sitôt sorti que l’on sonne à la cantonade.
Francine, se dégageant brusquement de l’étreinte de Coustouillu et se levant d’un bond.
On a sonné ! vite, venez !