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Francine, à Chanal en se levant.
C’est que je la connais celle-là, si on la laisse bavarder… !
Madeleine, s’autorisant des dispositions où elle voit Francine, pour se familiariser, — gaîment, avec un geste des bras en l’air.
Ah ! bien, madame sait ben… ! On n’a pas si souvent… !
Francine, brusquement, sur un ton qui veut être bourru.
Voulez-vous aller à votre cuisine !
Madeleine, pirouettant.
Oui, madame, oui ! (Se retournant vers Chanal.) Au revoir, monsieur.
Chanal.
Au revoir.
Francine, la rappelant.
Ah !… et dites à Marie…
Madeleine, au-dessus du piano.
Marie est sortie, Madame.
Francine.
Ah ! C’est vrai… Eh ! bien, allez dans ma chambre et apportez-moi ici ma robe que j’avais hier… allez !
Madeleine.
Oui madame.
Elle sort de gauche.
Francine, à Chanal, désignant sa robe.
J’ai hâte de quitter cette robe… pour choses tristes !