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Francine, par la fenêtre.
Descendez, monsieur, descendez ! qu’on prévienne la police !
La voix.
Je cours ! je cours !
Francine, pendant que Massenay referme la fenêtre, en poussant un soupir de soulagement — épuisée par les émotions.
Ah ! la, la ! mon Dieu !
Ils sont tous deux affalés, chacun contre un chambranle de la fenêtre. Brusquement, revenant à la situation, ils regardent à droite et à gauche avec des yeux étonnés de ne pas apercevoir Hubertin.
Massenay.
Eh ! bien, où est-il ?
Francine.
Où est-il passé ?
Ils se mettent tous les deux à quatre pattes pour voir sous les meubles et avancent, Francine dans la direction du fauteuil de droite, Massenay dans la direction du lit côté opposé au public ; ne trouvant rien sur le lit et entendant ronfler, il grimpe sur le matelas avec précaution et aperçoit le couvre-pied sous lequel est étendu Hubertin. À ce moment, un ronflement l’avertit de la présence du pochard sous la couverture ; il l’indique du doigt à Francine, puis à voix basse.
Massenay.
Il dort !
Francine, se relevant.
Il dort ! C’est le moment de filer.
Massenay, descendant devant le petit canapé du pied du lit.
Mais comment voulez-vous ? la porte est fermée.