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Massenay, essayant de l’empêcher.
Voulez-vous !… Voulez-vous ! Ah ! çà voyons ! (Voyant son impuissance à arrêter Hubertin.) Oh !
Il va déposer en désespoir de cause les effets qu’il a reçus d’Hubertin, sur le canapé de droite.
Francine, pendant qu’Hubertin retire son pantalon.
Enfin, c’est insensé ! est-ce que vous allez tolérer ça longtemps ?
Massenay, exaspéré.
Mais qu’est-ce que vous voulez que je fasse ?
Hubertin, qui a achevé de retirer son pantalon, le jette d’un air détaché par-dessus son épaule, de façon à l’envoyer tomber de l’autre côté du lit. Là !… et maintenant !…
Il tire un coup de revolver en l’air ; après quoi, ravi de ce qu’il a fait, il danse sur place une petite bourrée.
Massenay et Francine, sur le coup de revolver, poussant un même cri de frayeur.
Ah !
Francine, affolée.
Ah ! la ! la ! Ah ! la ! la !
Massenay.
Au secours ! Au secours !
Ils courent dans tous les sens comme des lapins.
Hubertin, s’arrêtant brusquement.
Mon Dieu, que j’ai envie de dormir !
Il se laisse tomber sur l’X qui est au pied du lit ; mais s’étant assis trop au bord, il glisse et tombe le derrière par terre, le dos contre le siège, le côté droit appuyé contre le bord du lit ; il reste là, abruti. — Francine et Massenay, qui n’ont cessé d’appeler au secours pendant