femmes qui m’ont aimé et il faut que ce soit celle que j’aime qui me repousse.
Vous avez été aimé, vous ?
Certes ! et discrètement, sans qu’on me le dise.
Ah ! bon !
C’étaient des femmes du monde !
Ne les compromettez pas.
Jamais !… Ah ! Finette, pourquoi ne m’aimez-vous pas ! nous aurions pu être si heureux dans le petit appartement que je nous avais fait meubler faubourg Poissonnière. Ah ! que je suis malheureux !
Soupir de Finette.
Vous soupirez ? Oh ! dites-moi que je puis au moins espérer.
Oh ! on peut toujours espérer.
Oui ? Ah !… et vous m’aimerez… hein ! oh ! aimez-moi ! dites !
Qui sait !… si vous y mettez du vôtre. (À part.) Non, mais c’est qu’il croit que c’est arrivé. (Indiquant la perruque.) Oh ! mais d’abord je ne veux pas vous voir avec cette vilaine chevelure. Enlevez ça, dites !
Mais c’est à moi.
Oui ? Eh bien ! faites-m’en cadeau !
Hein !