Et ton amour ?
Il m’a conduite ici, mon amour. Quand verrai-je Apollon maintenant ?
Comment t’appelles-tu ?
Finette.
Comme elle a l’air grincheux.
Tu verras, tu seras très bien ici ! Et puis si tu as à écrire à ton Apollon, tu peux ! On fait mettre les lettres à la poste par les externes.
Alors il paraît qu’il y a une nouvelle. Arrive ici, toi, qu’on te voie.
C’est à moi qu’elle parle comme ça ?
Oui, mais ne dis rien, parce que c’est Sophie l’intombable ! Elle n’est pas commode.
Ah ! bien, c’est ça qui m’est égal.
Eh bien ! dis donc, la nouvelle, tu n’entends donc pas quand on te parle ?
Qu’est-ce qui vous faut, à vous ?
D’abord, il me faudra changer ce ton-là !… Arrive ici, tu sais, c’est pas aux nouvelles à faire les malignes, je te prends, moi.
Comment ça ?