Messieurs, mesdames, veuillez vous asseoir. (À Bouvard.) D’abord, je vous présente ma fille, la future.
Finette salue.
La victime.
Comment ?…
Non ! C’est un terme de métier.
M. Saboulot, le fiancé.
Ah ! Parfaitement !… (Sérieusement gouailleur.) Je croyais que c’était monsieur son père.
Hein !
Le voilà donc, l’objet… le grotesque… qui chante « Le Cannibale et l’Horizontale ».
J’en ai assez de passer les rafraîchissements. Il n’y a personne par là… (Voyant Bouvard à sa place, le contrat en main.) Eh bien, qu’est-ce qu’il fait donc à ma place ? (Bouvard, surgissant à sa gauche.) Pardon, monsieur !
Taisez-vous donc !
Ah !… Oui, monsieur.
Il va s’asseoir dans le fond.
Et tâchez donc de rester debout !
Ah ! Oui, monsieur.
En voilà des manières ! (À Bouvard.) Monsieur, quand vous voudrez.