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Le fond de la scène s’illumine de feux de Bengale et l’orchestre joue la ritournelle d’un quadrille qui est précisément l’air de la Lycéenne sur lequel la foule danse le quadrille, pendant que Finette chante, sur le même air de la chanson, au public.

Bouvard.
––––––Amis, avant que de partir,
––––––La Lycéenne vous en prie,
Finette.
––––––Contre elle, n’allez pas sévir,
––––––Pardonnez son grain de folie.
Saboulot.
––––––Et si notre lycée ici
––––––A fait un triste phénomène,
Finette.
––––––Prenez-vous en au lycée, oui,
––––––Mais non pas à la lycéenne.
Tous.
––––––––Chahut ! chahut ! chahut !
––––––––Pour couronner notre but,
–––––––––––Des bravo,
–––––––––––À gogo !
–––––––Allez-y, n’ayez pas l’trac !
––––––––Chahut ! chahut ! Chahut !
–––––––Pour couronner notre but,
–––––––––––Clic et clac,
––––––––––Encore bravo,
–––––––––––Chaud ! chaud ! chaud !

Le quadrille redouble de frénésie. Fusées et détonations.


Rideau.


FIN.



Imprimerie générale de Châtillon sur Seine. – A. Pichat.