Page:Feydeau - Je ne trompe pas mon mari, 1921.djvu/47

Cette page n’a pas encore été corrigée

Le Gérant, à part. — Il est un peu godiche. (A Saint-Franquet.) Mais si Monsieur veut, pour lui, j’ai une très belle chambre de l’autre côté.

Saint-Franquet, vivement. — Non !

Le Gérant, rentrant son offre. — Ah ! Pourtant, de l’autre côté, la vue de la campagne…

Saint-Franquet. — J’ai horreur de la campagne.

Le Gérant. — Et puis, il y a une salle de bains.

Saint-Franquet. — J’ai horreur des bains.

Le Gérant. — Ah ! ah !… Affaire de goût, Monsieur, affaire de goût.

Saint-Franquet. — C’est drôle, je ne sais pas pourquoi, il me semble que cette fenêtre-là, ça doit être la fenêtre de la chambre de monsieur Plantarède.