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Plantarède. — Hein !

Saint-Franquet, se rassérénant. — Non, non, n’ayez crainte ! Je l’avais dit quand le derrière était anonyme… Mais maintenant que je sais à qui il a l’honneur d’appartenir, il m’est sacré ! Le derrière d’un vieil ami comme vous !

Plantarède, respirant. — Ah !… A la bonne heure !

Saint-Franquet. — Mais comment ! Je suis trop heureux d’un concours de circonstances qui me vaut le plaisir de vous rencontrer chez moi.

Plantarède. — Mais… plaisir partagé, croyez-le bien…

Saint-Franquet, lui retendant la main. — Ce cher Plantarède !

Plantarède, lui serrant les mains. — Ce cher Saint-Franquet !

Bichon. — Non, mais, je vous en prie, embrassez-vous !

Saint-Franquet. — Mais avec joie !