Page:Feydeau - Je ne trompe pas mon mari, 1921.djvu/181

Cette page n’a pas encore été corrigée

levant. — Tu as raison, je vais lui retéléphoner.

Bichon, vivement. — Ah ! non !

Saint-Franquet. — Ah ! tu vois bien que tu me contes des blagues !

Bichon - Bon ! bon ! je te colle des blagues !

Saint-Franquet. — Si tu te figures que tu vas me faire croire…

Bichon. — C’est bien ! Reste ! Tu verras bien.

Saint-Franquet - Les femmes sont capables d’un tel cynisme !

Bichon - Mais reste, je te dis ! Tu seras fixé.

Saint-Franquet. — Ah ! et puis, tu m’embêtes ! je resterai si je veux. C’est admirable, ça. Il faudrait peut-être que je manque ma répétition générale, pour faire plaisir à madame !

Bichon. — Eh ! ben, alors, va-t-en !

Saint-Franquet,