Page:Feuillet - Le Journal d'une femme, 1878.djvu/69

Cette page a été validée par deux contributeurs.

j’admire véritablement la singulière tranquillité d’âme avec laquelle Cécile — quoi qu’elle en dise — attend mon arrêt pour prononcer le sien. Je ne me suis jamais, pour mon compte, trouvée à pareille fête ; mais je me figure que j’y apporterais moins de calme et plus de détermination personnelle… Enfin, nous verrons bien !