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IV
Huit jours plus tard, 20 mars 1878.
Rien ne manque plus à l’épreuve. Elle est entière, elle est impitoyable.
M. d’Éblis est arrivé ce soir, comme je venais de coucher ma fille. Il a désiré me voir seule. Je l’ai reçu dans mon boudoir.
À peine assis devant moi :
— Madame, m’a-t-il dit, je vais vous quitter… je vais partir…
— Partir ? me suis-je écriée.
— Oui : j’ai obtenu le poste de second attaché militaire en Russie… Je pars demain soir… je vous demanderai la permission de revenir demain matin faire mes