Page:Feuillet - Le Journal d'une femme, 1878.djvu/184

Cette page a été validée par deux contributeurs.

ne le reverrai probablement jamais, car il ne quitte pas Louvercy, et j’espère bien n’y jamais revenir. — Pauvre garçon ! je lui saurai toujours gré de ce qu’il a fait pour moi.