Page:Feuillet - Histoire d'une parisienne, 1885.djvu/77

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Elles s’assirent, et madame de Lerne, répondant aux questions empressées de Jeanne, lui donna sur la façon de soigner, de nourrir, et même de médicamenter Toby tous les renseignements désirables. — Elle s’informa ensuite de la santé de M. de Maurescamp.

— Au reste, je ne sais pas pourquoi je vous en demande des nouvelles… il n’y a qu’à le regarder… sa santé est exubérante ! c’est un homme superbe !… superbe !… Il fait plaisir à voir, cet homme-là !

— Et monsieur votre fils, demanda Jeanne ; comment va-t-il ?

— Mon fils ?… Ah ! lui, c’est un autre genre… genre délicat ! vous savez ?… Une nature d’artiste !… Mais enfin, s’il n’y avait que cela !