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d’abord, par un esprit d’ironie vengeresse, les allures d’une femme uniquement avide de plaisir, de mouvement et de sensualité, elle semble maintenant par découragement et par abandon d’elle-même, jouer ce rôle au naturel.

Froide, railleuse, coquette à outrance, mondaine furieuse, indifférente à tout, elle ne paraît garder, depuis la mort récente de sa mère, qu’un sentiment honnête et élevé, — c’est celui qui la conduit trois fois chaque semaine au chevet d’une vieille femme paralytique qui est tombée en enfance, — la comtesse de Lerne.

Nous ne dirons rien de plus de Jeanne-Bérengère de Latour-Mesnil, baronne de Maurescamp. Nous avons cessé — de même que le lecteur