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XVIII


Une heure et demie plus tard, le duel avait lieu dans le bois des Marnes, et M. de Maurescamp recevait un coup d’épée en pleine poitrine.

On crut longtemps qu’il n’y survivrait pas, car les poumons avaient été lésés. Mais la force de son tempérament le sauva. — Sa santé néanmoins demeure précaire et son moral paraît devoir rester toujours inquiet et abattu.

Il semble avoir admis d’ailleurs, avec la partie la plus indulgente du public,