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reconnu inévitable, deux officiers de son régiment, qui avaient également assisté au dîner, se mirent aussitôt en rapport avec MM. d’Hermany et de la Jardye, que M. de Maurescamp avait de nouveau constitués pour ses témoins.

Nous ne fatiguerons pas une seconde fois le lecteur du détail circonstancié des pourparlers qui eurent lieu entre les témoins des deux parties. Il n’y eut, bien entendu, aucune tentative d’accommodement. Quant au choix des armes, il était bien clair que M. de Maurescamp, après ce qui s’était passé dans ses différentes parties d’escrime avec M. de Sontis, eût désiré se battre au pistolet ; mais si l’acte de fort mauvais goût que l’officier de chasseurs s’était permis sur l’invitation de madame de Maurescamp avait d’abord donné