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Qu’il les eût vus ou non, M. de Maurescamp rentra tranquillement au château par les avenues plus longues, mais plus commodes, du parc moderne. Il sortit de nouveau presque aussitôt et passa le reste du jour à inspecter ses plantations et ses coupes de bois. Il ne reparut qu’au premier coup de cloche du dîner.

Ce fut peut-être par un effet de la prévention que le capitaine de Sontis, en descendant au salon, crut remarquer dans l’accueil de son hôte un peu de contrainte et une certaine altération dans ses traits. — On alla dîner. — Il y avait une vingtaine de convives à table. On se formalisa un peu de voir madame de Maurescamp placer à sa droite le capitaine de chasseurs, qui était parmi ses hôtes un des plus jeunes et un des moins considéra-