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ment qu’il n’était pas en train ce jour-là. Il voulut renouveler l’épreuve les jours suivants ; mais elle ne lui réussit pas davantage, et s’il parvint deux ou trois fois dans autant d’assauts successifs à faire sentir le bouton de son fleuret à M. de Sontis, il parut évident à tout le monde que celui-ci y avait mis de la politesse. — Bref, ennuyé et dépité, M. de Maurescamp s’abstint dès ce moment sous différents prétextes de faire des armes le matin.