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veiller brusquement un beau jour, et, à la suite de réflexions inconnues, elle déclara à sa mère qu’elle se rendait à ses conseils ; elle rentrerait chez son mari ; elle demandait seulement qu’on lui accordât encore quelques mois de délai :
— Il faut bien, dit-elle, non sans un reste d’amertume, lui laisser le temps de sécher ses mains.
À dater de cette résolution, son humeur se modifia profondément ; elle sembla reprendre goût à la vie, et l’avenir parut lui présenter quelque intérêt assez vif pour lui rendre une partie de son activité et de son animation.
Elle vint donc rejoindre son mari à Paris vers la fin du mois de septembre et fit sa rentrée chez elle aussi simplement