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toute la durée du déjeuner, quand il savait parfaitement que lui, Maurescamp, maître de la maison, ignorait cette langue, enfin par son attitude généralement impertinente jusqu’à la provocation. MM. de Monthélin et d’Hermany, gentlemen fort corrects, malgré ce qui pouvait leur manquer d’ailleurs, ne soulevèrent aucune objection contre la légèreté de ces griefs, comprenant qu’ils en cachaient de plus sérieux et de plus légitimes qu’il était convenable de laisser dans l’ombre. M. de Maurescamp ajouta qu’il avait pour principe et pour système de terminer ces sortes d’affaires dans le plus bref délai possible, afin de ne pas leur laisser le temps de s’ébruiter, et pour prévenir ainsi l’intervention toujours si regrettable des femmes. Il priait en conséquence ces