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apparemment du nombre, et il fut à cet égard servi à souhait par la gracieuse Américaine. Diana Grey, si elle en eût eu la fantaisie, l’eût fait passer à coups de chambrière dans un de ces cerceaux de papier qu’elle crevait elle-même chaque soir dans les jeux du cirque. Elle préféra se faire donner un joli hôtel dans l’avenue du Bois-de-Boulogne et tout ce qu’il fallait pour y vivre confortablement. Moyennant cette compensation, elle voulut bien, à l’expiration de son engagement, renoncer à la carrière artistique et combler ainsi les vœux de M. de Maurescamp.