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moigna Jeanne après le départ de Jacques l’avertit qu’il avait commis une maladresse. Pour la réparer, il s’empressa, comme c’est l’usage, d’en commettre une seconde.
— Vous paraissez m’en vouloir, dit-il en souriant, de n’avoir pas cédé la place à M. de Lerne ?
— Tout bonnement oui, dit-elle. Vous étiez arrivé avant lui, — et rester après lui, c’est vous donner ici un air de maître de maison auquel vous n’avez aucun droit, que je sache.
— C’est vrai, dit-il. Je vous demande mille fois pardon ; mais vous savez que le sentiment ne raisonne pas.
— Il a tort, reprit-elle. De plus vous êtes, il me semble, avec M. de Lerne, depuis votre duel, dans une situation qui