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qu’il devait une visite à madame de Maurescamp. — Pourquoi voulait-elle le marier ? Quel était ce mystère ? — En tout cas c’était une marque d’intérêt personnel qui valait une politesse et un remercîment. Il alla donc un soir chez elle, au hasard, vers cinq heures. Il y trouva M. de Monthélin établi au coin du feu. M. de Monthélin, qui avait déjà bien assez de la présence de Toby, fut tellement exaspéré par celle de M. de Lerne, qu’il en perdit son savoir-vivre ordinaire ; il persista, contre toute convenance, à prolonger indéfiniment sa visite si bien que Jacques de Lerne dut prendre le parti de se retirer le premier, quoiqu’il fût arrivé le dernier. M. de Monthélin n’y gagna pas grand’chose, et l’excessive froideur que lui té-