Clintok, Foi et résolution ; — Breadford, Prospice, respice ; — Allen, Le cœur ne peut faillir pour autrui, etc.
Cependant lady Franklin, l’épouse de l’infortuné capitaine dont la disparition et le silence étaient pour tous un sujet d’inquiétude, ne restait pas spectatrice oisive des hardies tentatives faites de tous côtés pour découvrir les traces de l’Erebus et de la Terror. Cette dame, qui était fort riche, mais dont le dévouement surpassait la fortune, mettait tout en œuvre pour obtenir des renseignements précis sur la destinée de son époux. Elle n’épargna à cet effet ni démarches ni instances auprès du gouvernement anglais ; elle prodigua l’argent, et c’est à sa généreuse initiative que furent dues quelques-unes des expéditions que nous venons d’énumérer. Ce n’est pas tout : lady Franklin, aidée de quelques amis, se mit à correspondre avec tout l’univers, afin d’obtenir quelques éclaircissements sur l’expédition Franklin. Mais sa tendresse et son