Ouvrage dédié aux familles et à tous les amis de l'humanité, DICTIONNAIRE DE MÉDECINE USUELLE À L’USAGE DES GENS DU MONDE des Chefs de famille et de grands établissements, des Administrateurs, Magistrats, Officiers de police judiciaire, etc. ; enfin pouvant servir de guide à tous ceux qui se dévouent au soulagement des malades, Par une société de membres de l'Institut et de l'Académie de médecine ; dt Professeurs, de Médecins, d’Avocats, d’Administrateurs et de Chirurgiens des hôpitaux, SOUS LA DIRECTION DU DOCTEUR BEAUDE Médcciu inspecteur des établissements d’eaux minérales, membre du Conseil de salubrité, etr, 2 forts vol. in-i de 1 800 pages à 2 col. Prix : 30 fr. Asle des Ç»oU)otô.Uwts. Ahdmelx [Maladies des yeux, physique médicale], Auckt [Médecine]. Bii.lt [Médecine]. BtALOmjiD [ Médecine et Chirurgie, Maladie* de la peau]. Bealoe (J. P.) [Eaux minérales, Hjgiène publique. Médecine légale], Blacbe [Maladies des Enfants]. Blandiw [Fractures]. ïïm graf.dat [Chimie médicale]. Buniitai [Aiiatomie]. Cirn [Chirurgie, Maladiesdes fcinuics], Capitiike [Médecine, Chimie]. Cmu DtviLLAXDs[Cataracte, etc.]. Chevallier [Hygiène pulilique]. Cloqust (J.) [Ulcères]. Colombat (de l’Isère) [Bégaiement], <J"N ;ir. (A.) [Histoire naturelle]. Cottekeau [Médecine]. Cocvirchel [Tous les Fruits]. Clli irif.» [Maladies syphilitiques]. CullErier(A.) [Maladies syphilitiques]. Dalmas [AI decine]. Deleau jeune [Maladies de l’oreille]. Deslandes [Onanisme]. Devergie [Syphilis]. Donné [Nourrices], Dumont [Contagion], Falret [Aliénation, Maladies nerveusee]. Fiard [Vaccin], Furkari [Maladies des Yeux, Maladies des Artisans], Gerdt [Physiologie] . Gilet de Grandmont [Abeilles]. Gras (Albin) [Médecine, Chirurgie]. Guersant [Maladies des Enfants]. Hasdt [Médecine, Physiologie]. Larret (II.) [Hygiène militaire]. Lagasqoik [Médecine]. Landoost [Physiologie, Médecine]. Lélut [Prisons]. Lerot d’EnoLLEs [Maladies des voies uriuaircs]. Lksuel» [Empoisonnement, ooédecirj» légale], Magesdik [Gravelle]. Marc [Asphyxies]. Martinet [Epilepsic]. Mactins [Botanique médicale]. Miquel [Auscultation, Goutte]. Olivier {d’Angers) [Ovologie]. Orfila [Exhumations]. Paillard de Villeneuve [Rapport]. Pariset [Physiologie, Philosophie médicale. Peste]. Petit {de Maurienne) [Habitations]. Plissob [Médecine, Matière médicale]* Poiseuille [Circulation]. Sanson(A.) [Anatomie, Chirurgie]. Roter-Collard [Hygiène], Trebichet [Hjgiène publique, Polie» médicale], Toirac (Chirurgie dentaire). . Velpeau (Chirurgie, Accouchements). Vil (Pharmacie). De toutes les sciences humaines, il n’en est pas qui intéresse plus universellement que la médecine, parce que rien ne nous est plus cher que la santé, ce bien à la fois précieux et fragile, sans lequel l’existence est un véritable fardeau ; c’est ce qui explique le succès des ouvrages destinés à servir de conseillers et de guides aux personnes étrangères à l’art de ,< ;uérir. .Malheureusement, ces sortes d’ouvrages, presque toujours dictés par un esprit mercantile, sont empreints d’un charlatanisme déplorable. Les auteurs du Dictionnaire de médecine usuelle, hommes de science et de conviction, ne se sont proposé qu’un seul but, celui d’être utiles. Ils se sont appliqués à faire connaître «l’une manière exacte, quoique élémentaire, l’ndmirable mécanisme de l’organisation humaine. Sous le rapport de l’hygiène, ils ont pris l’homme à sa naissance pour ne le quitter qu’aux dernières limites de la vie : ainsi, tous •<-s â ;jcs, tous es tempéraments, toutes les professions, trouveront dans leur ouvrage de salutaires enseignements et de sages conseils. Pour compléter ce qui a rapport à l’état de maladie, le Dictionnaire de médecine usuellb s’est occupé des médicaments, des moyens de les préparer, de les administrer, etc. 11 donne, en un mot, toutes les instructions nécessaires aux personnes que leur zèle ou leur devoir appelle auprès du lit des malades, et qui peuvent devenir de puissants auxiliaires pour l’homme de l’art. Les magistrats y trouverons tout ce qui intéresse la salubrité des villes et des habitations ; ils y puiseront aussi des notions de médecine légale suffisantes pour les cas les plus ordinaires, et qui les dispenseront de recourir à des ouvrages volumineux et peu répandus. Quant aux médecins, on ne peut leur offrir un aide-mémoire plus sûr, puisqu’il est à la hauteur de la science actuelle, et en même temps plus commode, puisqu’il résume à lui seul une bibliothèque médicale toui entière.
