paient… oh ! mais, qui soupaient ! Le Kabyle surtout ! ça serait une jolie, fourchette, le Kabyle… s’il ne mangeait pas avec ses doigts !… Alors, comme vous voyez, tout tient !… Mais voici Soliman ! qu’il ne vous trouve pas ici ! Vous, soldats, répandez-vous dans les détours du palais… Vous trois, dans cette galerie !
Tous sortent.
Scène III
Oh ! Soliman ! quel air sombre ! sombre et rêveur !
» L’aimé-je ?… ou la haïs-je ? impénétrable arcane, » Ou l’œil ne peut rien entrevoir ! » Peux-je vouloir ? Veux-je pouvoir ? » Quelle tempête sous mon crâne !… »
(À Huzka.) Ah ! Tu étais là, mon bon Huzka ?
Oui, maître !… je respectais votre douleur…
Où est Fatime ?
On la traîne en prison, entre son vrai père et son faux père !…
On la traîne… on la traîne… doucement, n’est-ce pas ?
On a des égards !