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Le Duel
Orléans-Turin

À Pierre Veber


I

 
Le princ’ prétendait un’ chose.
Le comt’ disait : « C’est pas vrai !…
— C’est toujours vrai quand j’ cause !…
Que dit l’princ’. — Non !… que l’comt’ fait. »
Ils auraient pu l’jouer à la raquette,
Au tric-trac, au bouchon, au tonneau.
Ils avaient l’jaquet,
L’écarté, l’piquet,
Le loto,
Le bonn’teau,
La crapette.
’Préfèrèr’nt l’épée… On est libre.
Donc : l’épée ; un point, et en sec.

(I) Variante : Le duel du Prince d’Orléans et du Comte de Turin.