Page:Ferny - Chansons de la roulotte, 1900.djvu/206

Cette page n’a pas encore été corrigée
IV

 
Hélas ! le pauvre peuple n’a plus guère
De nom qu’il puisse ardemment célébrer !
Parara pa pa !
« Viv’ Déroulède ! » est un vrai cri de guerre ;
« Vive Reinach ! » paraît exagéré.
Parara pa pa !
Voilà pourquoi Monsieur Loubet s’impose.
Chacun devrait le trouver à son goût ;
Car il permet de crier quelque chose
D’équivalent à « Vive rien du tout ! »


CHŒUR

 
Montélimar (Drôme), ah ! sois… ah ! sois bénie,
Cité qui nous évite des ennuis !
Parara pa pa !
Crois à notre gratitude infinie
Pour l’innocuité de tes produits !
Vive Loubet !