Page:Ferny - Chansons de la roulotte, 1900.djvu/176

Cette page n’a pas encore été corrigée

 
J’ai l’horreur de la paix !
Ah ! mais… ah ! mais… ah ! mais… !
Mais quand j’ai pris ma douche,
Puis un’ cuillerée à bouche
De bromure, et qu’je m’couche,
Ça calme mes accès…
Heureus’ment qu’je m’connais !
Ah ! mais… ah ! mais… ah ! mais… ah ! mais… !